15 septembre 2008
Sourire vulgaire
Maintenant je n’ai rien à direune roche se pose au milieu du fleuvesans nom, sans observateurcomme les flammes d’adolescence d’hierCes flammes incendiaient le ciel de nuitincendiaient les yeux vides ou remplis de larmesElles faisaient pousser des touffes...