Vers la fin de précaritié
Le soir je me suis baladé dans la ville de Bagnolet. Je regarda des maisons au riverain de la petite rue, des foyers et leur vie quotidienne. C'était pour la première fois que je contemple des maisons en France, qu'ils sont chics, jolies, formatées et personnalisées. Je pensa à ma vie de future. Dans la philosophie chinoise, on disait que l'homme n'occupe aucun place entre le ciel et la terre, lorsque la maison, même la voiture, signifie une occupation. C'était d'après des lettrés chinois que le monde, l'existence de l'espace humaine soit qing zheng ping he(清正平和 sereine de fond), mais par contre, j'ai vécu le plus fort bouleversement et vagabondage. Des pensées chinoise n'existent plus dans la réalité, tel que le latin. Quelque chose s'est vraiment terminé et ne reste que sur ton corps. Et après tout, je dois me sortir de la nostalgie.
Devant l'église, je me disais qu'elle est où l'homme dépose sa fragilité. Comment la vie quotidienne est belle ! Je me rappelle que Zhang Lei a dit: les lycéens japonais ont leur temples à déposer leur stress avant le bac, lorsque les adolescents Shanghaiens n'ont rien.